Outils d’aide à l’écriture

Un petit article qui peut être intéressant pour tous ceux qui écrivent, car j’ai longtemps été gêné par les outils, en général. Mais pourquoi donc?

Ce qu’on appelle en anglais les « word processors », qu’on peut comprendre par « traitement de texte » au sens large, sont nombreux et parfois différent… Très différent!

L’incontournable

Tout naturellement, quand j’ai commencé, je me suis tourné vers  Word. Cela paraît logique, si on a besoin d’écrire, ce logiciel permet une mise en page rapide, il fait ce qu’on lui demande -ou presque –  (avec une correction orthographique dans la foulée) et il est incontournable, ou presque (comprendre installé chez tout le monde).
Pourtant, j’ai vite fait face à un problème de taille, pour moi: c’est moche (enfin, pas très sexy). Second problème: c’est trop clair pour mes yeux, je fatigue vite.

Une des solutions qui me plait bien, mais pour laquelle je ne plus rien faire: iWork sur Mac. Il existe notamment une fonction plein écran plutôt pas mal (la page blanche est mise en avant, le reste est transparence, plutôt sombre). Enfin, si je me souviens bien, ça remonte à quelques années maintenant…

iWork, mode plein écran: mieux, mais il manque toujours quelque chose…

Bref le problème se posait toujours pour moi, tournant sous windows 7. Après avoir joué avec les couleurs de fond de page & co, ça n’allait toujours pas. J’ai plus eu l’impression de régresser au stade de Word 95 (oui,oui, celui sur Windows 95).

Au final, je trouve que Word est pas mal, tant que ça reste au boulot. Je me suis alors tourné vers Libre Office, mais c’était un peu pareil… en encore un peu plus moche…
NB: je n’ai rien contre le libre, mais c’est en général pas super joli, à l’exception de The Gimp, sur lequel des thèmes GTK peuvent être chargé pour améliorer les choses. Malheureusement, je n’en ai pas trouvé (des thèmes) sous Windows pour Libre Office: dommage, cela lui permettrait de gagner des parts. Je pense que cela existe sous Linux, par contre.

Un passage éclair (comprendre: installer, tester, désinstaller dans la foulée) par Lotus Symphony (IBM) a fini par me faire reprendre des recherches sur internet.

Distraction-free Word Processors

Ce qu’on appelle les « distraction free word processor » sont des traitements de textes faisant le focus sur sa page (un peu comme iWork en plein écran). L’idée est de mettre en avant son travail (son texte) et d’occulter tout le reste. Ainsi, on est moins tenté d’aller surfer sur le net, d’avoir des pop-up de notification de mails, etc… Bien.
L’autre avantage, est de pouvoir régler l’affichage (type, taille et couleur de police, fond d’écran, largeur de la page, etc…) mais en restant le plus simple possible. Certains ne proposent même pas de correction d’orthographe, par exemple.

Un logiciel (ou application – app – c’est plus dans l’ère du temps) connu pour cela, sous Mac (eh oui, encore lui): WriteRoom.

exemple:

WriteRoom: c’est…. simple!

Ah, un début de piste. En farfouinant, je suis tombé sur un clone gratuit équivalement PC: DarkRoom (original, non?).

Je n’ai pas retrouvé le site de l’auteur, mais une recherche sur Google le trouve sur différents sites (de mémoire, il faut le framework .Net 2 installé)

Pas mal, on commence à avoir des choses sympas, mais noir sur fond vert, il faut aller farfouiner les options pour changer ça.
Il en existe une plétore:

JdarkRoom : un clone de WriteRoom/DarkRoom. Je ne l’ai pas essayé
Emacs: disponible sous Windows et Linux (je ne sais pas sous Mac), possède un mode « plein écran ». Pas très joli en mode fenêtré…
FocusWriter: excellent, permet pleins de choses sympas et possède différents compteurs et statistiques
OmmWriter: très spécial, avec son ambiance « nous savons ce qu’il vous faut pour écrire », mais sympa (il existe une version gratuite et une payante)
etc… Il en existe beaucoup d’autres (comme WriteMonkey, par exemple).

Bref, voila déjà quelques outils pour commencer.

Lequel utilise-je ? Eh bien, une petite application sur Ipad qui s’appelle Daedelus.

Et pourquoi donc sur Ipad et pas sur PC?

J’ai testé tous ces produits mais je n’ai pas trouvé chaussure à mon pied (mon côté difficile), surtout pour un détail tout bête: un écran d’ordinateur est en format paysage.
Je me suis rendu compte que je trouvais ridicule de taper en paysage alors que naturellement, nous écrivons tous sur une feuille de papier en portrait! Direction l’apple store et 3€ plus tard, je me retrouve avec un éditeur dont la police, sa taille et ses couleurs, me vont parfaitement, en mode portrait et sur une tablette qui  pousse beaucoup moins au surf, jeux, etc… qu’un PC.
En prime, il est possible de synchroniser le tout sur un dropbox ou un serveur webdav local. C’est top! Je n’en ai pas essayé d’autre, mais celui-ci est vraiment bien fichu, avec correction orthographique (désactivable), des touches supplémentaires (tabulation par exemple), possibilité de balader le curseur de droite à gauche en tapotant sur les marges, réactivités des développeurs. Bref, ça fait plaisir.

Les usines à gaz

Un dernier mot sur des outils un peu à part. La grosse référence est un logiciel appelé Scrivener. Il s’agit d’une application permettant d’organiser son travail. Par exemple, écrire chapitre par chapitre son livre et mettre dans une section à part, ses personnages avec personnalité, taille, particularité, etc… Ce n’est pas indispensable, mais ça peut être pratique, surtout si on veut vérifier des détails ou du moins garder un certain contrôle sur ce qu’on fait. Cela peut aider, par exemple, à structurer un document, roman, doc technique, ou quoi que ce soit.
A l’issu de l’écriture, il est possible de « compiler » les pages, afin de sortir un récit avec présentation, numéro de pages, chapitres, parties, etc…

Scrivener, ici sur Mac

Dispo sur Mac et PC, la licence est un peu cher (compter 40$ avec les taxes).
A noter: une version d’évaluation de 30 jours est dispo sur leur site (http://www.literatureandlatte.com/scrivener.php )
Astuce: entre le code YADDO pour bénéficier de 25% de réduction (ou chercher « scrivener coupon code » sur Google).

Un outil complexe MAIS qui mérite à ce qu’on s’attarde à le comprendre tant il est complet. Malheureusement, pour certains, en anglais (la traduction de l’interface en Français n’est pas terminée), cela reste compréhensible. A noter les nombreux tutoriels youtube pour comprendre le produit (encore en anglais, je ne sais pas si les sous-titres sont disponibles).
Par ailleurs, il contient un éditeur plein écran, à la manière de iWork.

Enfin, si vous ne souhaitez pas payer, il existe un outil similaire, moins complexe mais pas mal: YWriter.
Disponible ici: http://www.spacejock.com/yWriter5.html

Pour conclure

Voici quelques outils qui vont vous permettre d’écrire en étant plus à l’aise. Je suis certain qu’être à l’aise et concentré permet d’être plus efficace (ceci n’engage que moi). D’ailleurs, ces éditeurs minimalistes ou à vocation de concentration peuvent être utilisé dans d’autres cadres d’écritures: un rapport au bureau, une lettre, etc… Payant ou gratuit, cela peut être un vrai plus.

Un dernier point: pour passer du texte « brut » à un texte « formaté », il y aura du travail à faire à posteriori. Dans mon cas, je bascule chaque chapitre de Daedelus dans Scrivener et, à l’issue d’une partie, je retravaille le tout. Oui, cela fait du travail en plus. Oui, cela pourrait être dispensé. Mais dans mon cas, je préfère opérer comme cela, du moins pour le moment.

J’espère que ces quelques références vous feront gagner du temps, car j’ai passé pas mal de temps à comparer, essayer et me planter. Ou peut être que vous trouverez ceci juste inutile 🙂

Montage d’un Cameleon Oiler

MAJ : test vers le nouveau modèle ICI

J’étais à la recherche d’un graisseur automatique. Plusieurs existent, chacun avec leur spécificité: Pro-oiler, Scott-oiler et Cameleon Oiler. Il en existe d’autres (ou certains le fabriquent eux-mêmes) mais je me suis beaucoup renseigné sur chacun de ces trois-là. Le Cameleon Oiler a retenu mon attention, car :

  • Il se branche facilement à la moto (uniquement un 12V après contact est nécessaire)
  • Il n’y a pas besoin de percer le bras oscillant (rédhibitoire pour moi)
  • Le montage est relativement aisé
  • évite la corvée de nettoyage/lubrification
  • Permet un nettoyage/lubrification très régulier (toutes les 3mn45 exactement)
  • [censé] augmenter la durée de vie du kit chaîne (j’expliquerai le « censé » par la suite)
  • le prix (c’est un des moins chers)
Le produit fonctionne comme suit: Un réservoir (sous forme d’un tube) d’huile fine est régulièrement pompé pour injecter une certaine quantité de celle-ci directement sur les rouleaux de la chaîne. L’huile présente l’avantage de nettoyer la chaîne et de lubrifier: injecté régulièrement de manière automatique (par le Cameleon Oiler), il n’y a plus de contrainte de le faire très régulièrement.
En effet, lubrifier à l’huile est idéal car cela empêche l’accumulation de poussières et autres cochonneries qui transforme le tout en pâte abrasive (si vous vous demandez pourquoi on nettoie la chaine de temps à autre…). Le revers de la médaille, c’est qu’il faut relubrifier très souvent avec l’huile (surtout sous la pluie…).  Le Cameleon vient donc palier cette corvée: en prime, l’huile permet de nettoyer la chaine automatiquement.
voici un tableau illustrant la fréquence de lubrification:
Bref, j’ai donc commandé directement le kit au Canada (je croyais que cela provenait d’Angleterre). Dix jours plus tard, un petit colis arrive. Voici un descriptif du kit

le colis complet

kit complet
contient:

Le boitier électronique a.k.a. le Cameleon Oiler lui-même (étanche et bien lourd qui inspire confiance)
la deuxième partie du tube acheminant l’huile (en forme d’oval)
12 colliers rilsans
3 pattes de fixation avec ses vis auto-perçantes (me semble-t-il)
2 fiches voleuses
1 notice de montage
1 dépliant publicitaire
2 autocollants « Cameleon Oiler »

Le tube rigide menant à la chaine (la dernière partie)

Note: ne pas défaire la petite boucle

Détail du raccord avec le tube flexible (allant vers le boitier électronique)

Détail sur la sortie du tuble (qui amène l’huile à la chaine)

note : la tige est pleine,cela est normal. Le caoutchouc noir, l’entourant, étant lâche, l’huile va s’écouler autour de la tige (et comme c’est de l’huile, pas de soucis pour la rouille). La tige permet une fixation ferme, en fonction de son besoin. Les dimensions sont (relevées moi-même, sur MON kit, donc sujet à erreur ou autres changements indépendant de ma volonté):

  • Longueur total : 70 cm
  • diamètre extérieur du tube en caoutchouc noir : 6mm
  • Diamètre intérieur du tube en caoutchouc noir : 4mm
  • Diamètre de la tige en métal : 3mm

Attention : ne pas trop écraser le tube en caoutchouc sous peine de former un bouchon ou diminuer le débit

le boitier électronique:

Note: le câblage est déjà préparé. 

La connexion électrique « nue » (on peut souder ou utiliser les fiches voleuses pour raccorder au 12V)

note : oui rien d’extraordinaire, ce sont deux fils quoi 🙂

La bouteille d’huile à utiliser avec le Cameleon Oiler (et uniquement celle-ci, sinon la garantie saute)

Détail sur le tube servant de réservoir

Note: noter le petit trou afin que l’huile tombe correctement dans le boitier électronique par gravité. Ne pas le boucher…

Vue dépliée du tube servant de réservoir (très pratique pour caser dans les carénages)

note : le tube fait 90 cm de long (mesuré par mes soins)

Une des trois pattes de fixation

Une des trois vis allant avec les pattes (visiblement auto-perçante/taraudante)

Note: je ne m’en servirai pas, hors de question de percer le bras oscillant. C’est une empreinte carré

Une des deux fiches voleuses

Détail sur le boitier électronique

  • (première photo) tube d’alimentation et LED d’indication
  • (deuxième photo)   bouton de réglage d’ouverture, alimentation électrique (en haut) et durite qui va envoyer l’huile vers la chaine (première partie)

Implantation

Sur 600 Hornet, le cadre ne permet pas de l’attacher à l’extérieur, comme on peut le voir souvent sur internet.

J’ai vu le montage sur le forum de HorneTeam, je pique donc l’idée

L’espace est très confiné sous la selle du Hornet, il faut donc faire au mieux. Le boitier sera donc accroché au moyen de colliers Rilsans sur un faisceau de câbles: cela suffit. Le tube (réservoir d’huile) passera sous la barre en ferraille (pas de pincement), à côté du bouchon de liquide de refroidissement et remontera complètement dans le carénage, sur le côté gauche de la moto. Ne voulant pas couper le tube (si je change de moto, je veux conserver le maximum possible), je ne le remplirai pas au max, mais jusqu’au niveau de la poignée passager: eh oui, sinon, par gravité, cela va retomber par le bouchon troué…

Un peu plus près

On démonte madame pour accéder aux fils de plaque et de stop (pour récupérer le 12V après contact)

Vue sur l’alimentation d’une des deux ampoules de stop/plaque

note: fil brun: +12V; fil jaune et vert: masse

On fixe le boitier au faisceau et l’alimentation du Cameleon Oiler passe également dedans

Suite du cheminement

Suite…

Et l’arrivée à l’alimentation (le câble noir, qui arrive du coin supérieur gauche)

Connexion avec les fiches voleuses (montage temporaire, je souderai plus tard avec de la gaine rétractable, c’est plus fiable)

Note: prendre son temps pour monter les fiches voleuses, s’aider d’une pince si besoin

On passe ensuite le flexible sortant du boitier, qui ira se connecter sur le tube rigide (sur la photo, je l’ai déjà connecté)

Note: la boucle est présente pour laisser du débattement avec le bras oscillant et pour réutilisation ultérieure. C’est ce qu’avait fait le membre du forum HorneTeam, donc je suis quasi-sûr que ça ne posera pas de problème

Le passage que j’avais décidé de mon tube rigide est nickel: j’ai utilisé les vis de mon pare-chaine et c’est juste pile-poil avec la platine du cale-pied (NB: je pourrai agrandir les trous des fixations, de manière à reserrer plus sérieusement car là ça dépasse un peu quand même).

Afin de préserver la longueur d’origine, je fais un demi-tour derrière le pare-chaîne, puis le tube plonge à côté de la couronne (un collier pince le câble légèrement, ce dernier ne peut donc pas « sauter » sur la couronne). Enfin, le tube est plié  de manière à amener juste au-dessus de la chaine, au plus proche des 2cm de la jonction chaîne/couronne (comme conseillé sur le site)

Note: j’ai démonté la platine du cale-pied sinon impossible de démonter la vis de gauche du pare-chaîne
Note bis: le collier au milieu est présent juste pour éviter que le tube ne se ballade de droite à gauche, il n’est pas serré très fort (mais suffisamment pour que cela ne bouge pas)
Astuces:

  • réfléchir au cheminement avant la poste et aidez-vous d’une pince 
  • Pour avoir un peu galéré, essayer de plier autant que possible AVANT de placer le tube (par exemple, s’aider d’un mètre)
  • Avant de tout brancher, placer son doigt à la sortie du tube et souffler à l’entrée (voir si l’air passe, histoire de pas avoir à tout démonter après, quand c’est rempli d’ huile…)

 

Détail

Remontage de la platine

Note: le montage est assez discret, avec le flash, c’ests très visible, mais en vrai, ça va

Vue arrière

Vue de dessous la chaîne (la sortie du tube est visible sur le 2è espace, à partir de la gauche)

Une autre vue de l’arrière

Encore une autre vue

Vue sous la couronne (le câble ne touche nul part c’est un effet de perspective)

Le montage m’a pris un peu plus de 2h, le temps de réfléchir et essayer de poser ça le mieux possible. J’ai surtout galéré avec les fiches voleuses (m’y suis mal pris). Quand tout est remonté et qu’il faut remplir le tube d’huile, utilisez un petit entonnoir ou si comme moi y’a rien, prenez un petit bout de papier, roulé en cône, ça marche très bien.

L’huile est très visqueuse, c’est assez étonnant.

Une fois le tout monté, il faut programmer le boitier. C’est très simple, tout est ici:

http://www.youtube.com/watch?v=bB6dVWttVQ8

(lire les textes à partir de 1’15)

Il faut laisser le temps au système d’amorcer l’intégralité du tube. Le temps est variable, certains mettent une heure en fonctionnement, en programmant 30 secondes de temps d’ouverture (j’ai vu pour d’autre 100 kilomètres, mais comme c’est un timer, la distance importe peu).

Dans mon cas perso, je n’avais rien au bout de 30 minutes et 10 km de route (programmé à 30 secondes), mais de l’huile est présente à la jonction entre le tube souple et rigide: ça ne devrait pas tarder. Si l’huile ne coule pas assez ou pas, c’est qu’il y a un problème dans le cheminement de mon tube (démontage à prévoir dans ce cas pour refaire le cheminement…). J’imagine qu’en fonction du cheminement, c’est plus ou moins long (longueur, montées et descentes).

Pour vérifier que le tube n’est pas malmené, une fois que l’huile coule, contact allumé, il suffit d’attendre que le boitier « ouvre » pour vérifier l’huile qui en sort.

Ce système simplifie les choses mais:

  • Il faut quand même vérifier l’état de la chaine (et surtout la lubrification)
  • Il faut vérifier de temps à autre le niveau d’huile pour chaine
  • Il faut agir sur le temps d’ouverture de la pompe en fonction de la conduite et du temps (pluie, froid, etc…)
 Pour terminer, je dois avouer que le montage est assez aisé, il faut bricoler un peu. L’avantage est qu’il est peu intrusif, ça éviter de trop couper le circuit, de percer le bras oscillant  ou de débourser plus de 250€… Certes le système est un « timer » assez basique (comparé au scottoiler e-système ou pro-oiler) et il faut changer la programmation si besoin, mais au moins la lubrification est fréquente et propre et le procédé vraiment pas contraignant (en quelques secondes, c’est fait). Le kit est soigné, les pièces inspirent confiance et le tout est garantie 3 ans.
Ce qui m’a un peu déçu, c’est le tube de réservoir qui est trop plié (cela créé des pincements, je trouve ça un peu dommage), ainsi que le tube rigide. Sinon, c’est du tout bon.
Je ferai un retour au fur et à mesure. Là j’attends que l’huile arrive en sortie du tube rigide, je vérifie que la quantité d’huile éjectée correspond (certains ont eu des soucis) et je vais nettoyer ma chaîne pour virer la graisse actuelle.
J’ai oublié quelques photos (genre la moto, une fois tout monté), mais je posterai d’autres photos par la suite 🙂

Mise à jour

Après environ une heure/une heure trente d’utilisation (20/30 kilomètres en ville), l’huile a commencé à couler par le flexible, côté chaîne. J’ai retrouvé de l’huile sur ma jante, comme prévu. J’ai réduis alors à 10  puis 9 secondes le temps d’ouverture mais de l’huile est toujours présente sur la jante: j’ai baissé ce matin à 6 secondes… J’ai également enlevé le collier sur le bras oscillant mais je pense le remettre pour  bloquer le flexible une bonne fois pour toute (le montage ne bouge pas mais si j’appuis, la sortie tu tube bouge un peu et ça me plait moyen).

Le montage actuel:

Détail sur la sortie du tube:

note: il me parait un peu haut, non?

un autre détail (vu à travers un maillon, au-dessus; bien en face non? 🙂 ):

vue de côté:

Après une semaine, la chaine est toujours bien lubrifiée. Je diminue progressivement afin de trouver le bon réglage, mais jusqu’à présent, je ne fais que diminuer!

Mise à jour du 20/09:

J’ai redémonté le tube afin de l’amener jusqu’à la chaine, c’est maintenant beaucoup plus proche (la graisse devrait donc bien tomber sur la chaine):

c’est déjà plus proche

et maintenant ?

Cela fait quelques temps que je n’ai pas posté. Enfin si, mais pour ce que je fais.

Eh bien, je ne fais pas grand chose. Bon, j’ai repris la course à pied, ça fait plaisir d’y retourner.

J’ai dépassé les 400 km, d’ailleurs. Je n’en tire aucune fierté, juste que je trouve ça rigolo, ces statistiques.

 

California is a place!

California is a place est un site web: http://www.californiaisaplace.com

Qu’a-t-il de particulier? Eh bien tout simplement que le site est fourni de vidéos à propos de la Californie et… basta. Si, il y a un blog… avec d’autres vidéos! Mais l’essence du site, c’est la présence des vidéos. Celles-ci sont des reportages sur la Californie. A vrai-dire, je ne sais pas ce qui motive les auteurs car il y a peu d’infos sur le site, hormis ce passage (en anglais):

California is loaded. From Disneyland to farmland, we’ve got Scientology and superstars, Silicon and silicone, crips and bloods. The border. Krumpin’ Clownin’ Jerkin’. The surf and the turf. The boom and the bust. California is humanity run amuck and then packaged, branded and sold. California Cuisine, California Love, California Casual, California Gold, California Girls, and of course, California Dreams. If it exists in the world, it exists here and it does so with pizzaz.

Obviously, we love this stuff. That’s why we’re doing this project. Simply put, California is sensational. And the closer we look the better it gets: words and images, stories and songs, opinions and ideas. This project is ongoing. We hope you like what you see and say so. We plan to post often. So until that day, when we finally float off into the Pacific, California is a place. Stay tuned.

En gros, ce sont des bonshommes qui se balladent et font des reportages sur la Californie. Oui, mais ce n’est pas aussi simple. Les témoignages sont poignants, les personnes intéressantes et la photographie (couleurs, teintes,… ) est bluffante. A chaque fois, c’est assez dramatique (dira-t-on): Big Vinny, vendeur de voitures depuis des dizaines d’années, qui prend de plein fouet la crise financière. Le boum des ventes de piscine dans les années 90, signe de réussite, laissée à l’abandon, suite à cette même crise.  Le mur séparant le mexique de la Californie.

Etc…

Certains  trouveraient ces reportages faciles, mais la réalisation chiadée et la façon de traiter les thèmes (qui sont originaux) est vraiment bien foutue. Il se dégage de ces vidéos une mélancolie, assistée par la photographie et les musiques, qui desservent parfaitement le but des reportages.

La première vidéo que j’ai vue est Big Vinny. La première fois que je l’ai vu, j’ai vraiment pensé (ressenti)  aux ravages du côté des Etats-Unis de la crise financière: des gens, comme tout le monde, qui sont confrontés aux dures réalités de la vie. Son récit est poignant, rempli de souvenirs « de la belle époque florissante » et il aime son boulot: « this is the most difficult job in the world with the exception of one’s being the president of the United States ».

Les autres vidéos sont excellentes égalements. Big Vinny est mon coup de coeur, bien sûr, mais elles sont toutes dignes d’intérêts, chacune dans leur styme (Honey Pie est… intéressante 🙂 ).

Toutes les vidéos sont dispos ici:

http://californiaisaplace.com/cali/

Dernière découverte, dans le blog, GODSPEED (un livreur à vélo)

Ces vidéos sont en anglais, mais certaines se passent du son.

Ce site est une vraie découverte qui fait plaisir.

Un peu d’Islande

récemment, j’ai réouvert mon livre sur l’Islande. Je reste toujours aussi étonné de la variété des paysages de ce pays, entre caillasses et verdure. On ressent bien le côté sauvage (la Terre de Feu). C’est assez intéressant, d’ailleurs, de constater que les Islandais cohabitent avec la nature. Je fais partager quelques photos glanées sur panoramio:

et bien sûr Eyjafjallajokull en éruption…

et pour finir, deux vidéoq de « comment conduire en Islande » 🙂

virage

le voilà, ce virage qui m’a fait flipper, qu’on a pris à fond les ballons!!! (enfin c’est ce qui m’a semblé, depuis le siège arrière 🙂 )

Entrée:

Sortie:

Code de la route: post mortem

Je voulais écrire une petite bafouille concernant le code de la route, mon ressenti après les épreuves. Bon, ce qui est sûr, ce que même plus de 3 semaines après l’avoir eu, me dire que je m’en suis débarassé en repensant à la galère que ça a été, je suis heureux! 🙂

Pour revenir sur ce que je disais, je pense toujours que le meilleurs moyen de se faire au code est de lire le bouquin conscienscieusement mais surtout de faire beaucoup de tests. Si possibles, en faire de plusieurs éditeurs (internet, dans l’auto-école, etc…), car si le genre de questions restent le même, les situations ou énoncés diffèrent. C’est en tombant qu’on apprend, il ne faut pas hésiter à en faire, même un ou deux par soir.
Après tout, ce n’est qu’un mauvais moment à passer…

En soit, il n’y a rien de compliqué, mais il faut  faire très attention aux énoncés et bien décrypter les photos. Un exemple type est « la signalisation m’interdit … » car en général il y a un gros panneau bien en évidence, mais on peut oublier de regarder les lignes au sol (ou un panneau au loin). C’est traitre mais pas si bête finalement… Ce qui résume pas mal l’épreuve du code.

Le jour de l’examen, étant bien préparé, j’ai vraiment trouvé plus simple le questionnaire. Tellement, que je me demandais où était le piège (mais il n’y en avait pas…).

Il suffit de bien bachoter, donc 🙂